01/06/2023 , Temps estimé de lecture : 1 min
Procréer est un acte on ne peut plus naturel, celui qui
permet à toute espèce de se perpétuer, et la nôtre n’y fait pas exception. Et
pourtant, pour bien de couples, ce processus se transforme en difficultés,
voire en parcours du combattant.
Mon propos n’est pas ici d’évoquer les méthodes de
fécondation stimulée, in vitro… Il est plutôt d’évoquer un certain nombre de
paramètres qui influent la possibilité pour deux êtres humains de se
reproduire.
C’est le temps conseillé à consacrer à son corps en amont de
la fécondation.
En premier lieu, il faut un père et une mère. Là, je ne vous
apprends évidemment rien ! J’ajoute donc, il faut un père et une mère dont
les corps sont aptes à la reproduction. Côté père, il lui faut des spermatozoïdes
de « compétition » en grande quantité. Cette grande quantité (on
parle de milliards) nécessaire est d’ailleurs une difficulté croissante de nos
jours où de nombreux hommes sont en oligospermie (faible nombre de
spermatozoïdes par mL de sperme).
Pour une femme, les dés sont jetés avant même sa naissance
en ce qui concerne ses ovocytes. Elle naît en effet avec un stock, qui ne va
cesser de baisser chaque année. Ce qui se jour côté féminin, c’est l’ovulation
et ensuite la capacité pour l’utérus d’accueillir l’embryon et de le garder.
En naturopathie, on conseille aux parents de
« nettoyer » leur corps, de le dépolluer et de vérifier qu’il ne lui
manque rien en termes de minéraux et vitamines, ces petits éléments nutritifs
oh combien essentiels pour mener à bien une naissance.
Et comme toujours, chaque personne étant unique, il n’y a
pas de « protocole » type, rien qu’un accompagnement individualisé.
Si cet article vous a été utile, n'hésitez pas à lui donner un coup de pouce en cliquant sur :
Être parent, c’est un ensemble de tâches : s’occuper du soin du corps, de l’environnement matériel de son enfant, de ses repas… et éduquer son enfant. De mon expérience, et je me garderai bien de...